Ponctuation

Les arpenteurs du jour

- Merci à la "mise en abyme" de Toobanal sur Un recoin d'ombre, la note précédente : "...au milieu de la nuit, cette percée et ces trois silhouettes qui se détachent miniscules comme trois points d'exclamation dans l'abîme du jour...Heureuses de vivre..." -

Comments

[fugitive]

Tant d'histoires d'hommes, cher Pierre, taillées en ces ruines hantées par la guerre...

J'y pensais, cher Photoeil, réservant même cette image pour illustrer la partition d'une suite pour piano étrange... C'était dans l'"r" !

Belle citation que cette "forêt mémorielle", Michel. Heureuse encore de te retrouver.

Un malaise, c'est vrai, chère Kaïkan. Une impression vraiment étrange, comme si l'espace se déchirait à ces pieux vermoulus et dévoilait les couches du temps, des voix d'ailleurs, térébrantes.

Merci, Kirikino, pour cet haïku qui m'enchante ! Je n'avais pas pensé au yi-king et... tu fais mouche !

Peut-être, chère Maria, découvrirais-je tes pas sur le sable...

Un oeil de lynx, cher Phil ! "L'homme qui marche" d'ailleurs est une de mes bds préférées de Taniguchi...

Merci Anny d'y être sensible. Amitiés

Ton commentaire me touche beaucoup Corinne. J'ai toujours aimé la définition de la poésie que donnait victor Hugo : "l'intimité des choses". Si je pouvais seulement l'effleurer, cette intimité, comme je serais heureuse !

[Corinne]

Ta façon de savoir donner vie aux choses inerte.
Ou plutôt peut-être d'allumer dans nos regards cette magie d'entrevoir ce que l'on oublie de regarder, se contentant trop souvent de ne voir que qui se présente à nos yeux...

[Anny]

Une ambiance famtomatique ,surtout sur la deuxième......superbe !

[achourit12]

Au loin toujours
cette silhouette d'homme
qui marche


Phil

[Maria-D]

De points de suspension
En points d’exclamation
Je vais où mes pas me portent
Sur la plage blanche