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Fugitive
Fugitive
21 janvier 2008

Les coursiers du secret

confidences

Un secret ? Quel secret ?

Ecoutez le vent, les grands-mères au coin des rues et les enfants toujours sautillants... Peut-être en saisirez-vous un fragment !

poucets

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Commentaires
F
Merci, Ossiane, pour ce joli haiku sautillant, dansant, se jouant des déséquilibres.<br /> <br /> C'est ainsi, Mima, au gré du souffle, que se confient les plus chaleureux mystères, tout simples en fait, précieux de tendresse.<br /> <br /> Je ne l'oublierai pas, cher TooB... Merci pour ce partage sans édulcorant.<br /> <br /> Oui, Kaïkan, je me suis fait la même réflexion. Ce geste si tendre, si féminin... Au creux du cou, c'est là que se cache la plus belle intimité, mi offerte, mi secrète...<br /> <br /> Cette dame, Françoise, rencontrée au détour d'une rue, m'a bouleversée par sa gentillesse, son naturel et son sourire.<br /> <br /> Tu n'es pas loin, Damien. Mais ce n'est pas à Bruille... Plutôt en contrée d'austres vents...<br /> <br /> Un murmure, juste un murmure, Maria... Les murs se souviennent, les rues racontent...<br /> <br /> Ne les aurais-tu pas peints, Patrick, ou sculptés, sans le savoir, ces coursiers aux multiples visages ? :)
A
Ce n'est pas la ruelle ténébreuse, mais la "ruelle du lapin", dans les Ostres Vents... ;)
P
Je ne sais pas. peut-être ai-je croisé un de ces coursiers et je n'ai pas su le voir, l'écouter, certainement... Alors j'ai perdu mon temps.
M
Grand-mère a dit :<br /> Ecoute petit moineau<br /> Le chant des briques
D
J'ai l'impression de (re)connaître cette ruelle!<br /> <br /> N'a-t-elle pas été autrefois (je parle d'un autrefois enfoui dans le pourpre de très anciens automnes) le théâtre de folles équipées nocturnes qui nous menaient du centre ville jusqu'au vieux pont de Bruille, où les trains jouaient leur mélopée grinçante toute la nuit?
Fugitive
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